Notices d'oeuvres - Précisions de l'oeuvre
Détails de l'oeuvre
Titre :
Auteur :
Numéro d'inventaire :
D 2015.1
Précisions concernant l'auteur :
Saint-Cloud, 1854 ; Paris, 1913
Domaine :
Période (siècle ou millénaire) :
Millésime de l'oeuvre :
1898
Technique et matériaux :
Dimensions :
H. 79 cm ; l. 80 cm (hors cadre) ; H. 91 cm ; l. 92 cm (avec cadre)
Représentation - Iconographie :
fontaine ; cygne ; putto ; bacchus ; Versailles
Auteur de l'image :
Notes :
Comme Paul-César Helleu (1859-1927) et
Jacques-Émile Blanche (1861-1942) à la même époque, Gaston La Touche a peint à de multiples reprises la beauté du parc de Versailles et particulièrement de ses bassins. Il s’agit précisément dans ce tableau du Bassin de Bacchus ou L’Automne de Gaspard Marsy (1624-1681). Au centre de la composition où dominent les couleurs de l’automne, un groupe sculpté de putti, duquel s’élance un jet d’eau, brille sous le soleil. Des cygnes – symboles de fidélité et d’amour éternel, que l’on retrouve régulièrement dans l’œuvre de La Touche – flottent majestueusement sur les eaux chatoyantes. Ils sont accompagnés d’une nymphe dont on aperçoit le dos et la chevelure châtain. Le peintre évoque ici une scène de pure fantaisie et peuple ce décor de rêve d’un personnage né de son imagination.
Ce tableau est vraisemblablement celui exposé au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts de 1899 sous le nom de Souvenir de Versailles
Jacques-Émile Blanche (1861-1942) à la même époque, Gaston La Touche a peint à de multiples reprises la beauté du parc de Versailles et particulièrement de ses bassins. Il s’agit précisément dans ce tableau du Bassin de Bacchus ou L’Automne de Gaspard Marsy (1624-1681). Au centre de la composition où dominent les couleurs de l’automne, un groupe sculpté de putti, duquel s’élance un jet d’eau, brille sous le soleil. Des cygnes – symboles de fidélité et d’amour éternel, que l’on retrouve régulièrement dans l’œuvre de La Touche – flottent majestueusement sur les eaux chatoyantes. Ils sont accompagnés d’une nymphe dont on aperçoit le dos et la chevelure châtain. Le peintre évoque ici une scène de pure fantaisie et peuple ce décor de rêve d’un personnage né de son imagination.
Ce tableau est vraisemblablement celui exposé au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts de 1899 sous le nom de Souvenir de Versailles
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