Œuvre : Précisions - masque casque | Espace WebMuséo Musenor

Musée :

Lille, Musée d'Histoire Naturelle

Statut de l'oeuvre :

présent

N° d'inventaire :

NNBA 3508

Domaine :

ethnologie
croyances - coutumes
vie sociale - culturelle

Dénomination :

masque
casque

Lieux création, exécution :

Nouvelle Irlande
Océanie > Nouvelle-Guinée > Papouasie-Nouvelle-Guinée

Techniques et matériaux :

Alstonia ? ; baguettes de bois tendre. D'après A.Renard, restaurateur. ; Pigments blanc, noir, rouge, bleu. D'après A.Renard, restaurateur. ; Fibres végétales de différentes sortes (rotin, fibres de bananier, fibres de coco) ; Tapa brut et teinté (rouge dans la masse ; points noirs sur tapa brut). D'après A.Renard, restaurateur. ; Deux opercules de turbot petholatus. D'après A.Renard, restaurateur.

Dimensions :

Longueur maximum en mm. : 380
Largeur maximum en mm. : 230
Hauteur maximum en mm. : 310

Longueur maximum en mm. : 380 Largeur maximum en mm. : 230 Hauteur maximum en mm. : 310

Description :

Masque facial de 18 cm de hauteur en deux parties. Une partie (11 cm) sculptée, très ouvragée et ajourée. Chaque élèment du visage est réhaussé de couleurs brutes ou de motifs bicolores ( ex. nez noir avec petit motif quadrillé rouge et ailes du nez bleue, rouge et blanche ; dents marquées par des chevrons noirs et blancs inversés sur les deux lèvres ...) Les yeux sont deux opercules blancs et verts. L'autre partie (7 cm) brute et en retrait par rapport au masque est ponctuée de trous, par lesquels sont passées les ligatures des autres élèments de la coiffure. Le masque facial est fixé à une armature arrière, constituée de trois baguettes souples à l'horizontal et de 16 baguettes à la verticale courbées. Sur et dans cette armature viennent se fixer, par des ligatures végétales et par piqûres, quatre morceaux de bourre de noix de coco -deux écorces externes brutes, fibreuses derrière et deux écorces lissses devant. A la base de cette structure, un ensemble de baguettes végétales souples court d'un bord l'autre en passant derrière le masque en bois peint et sous le menton. Ces baguettes sont enroulées par des bandes de tapa, brute du côté droit et ponctuée de points noirs du côté gauche. Le tout est fixé aux bourres de coco par des ligatures végétales. Le côté gauche est recouvert d'un tapa brut sur les trois quarts de la surface et teinté en rouge au dessus du sourcil gauche. Les deux surfaces sont séparées par une petite baguette végétale. Un ensemble de tresses végétales à trois brins uni- ou bicolores vient par dessus. Une crête végétale (quatre à cinq rangées de petits poils jaunâtres denses, fixée par des ligatures végétales brunes, ocres claires (deux types de fibres végétales sur la même baguette) sur des baguettes de bois courbe) surmonte le tout. Elles sont fixées aux noix de coco par une ficelle torsadée régulièrement (chanvre ou lin sans doute pas d'origine) passée dans la noix de coco et nouée de part et d'autre des faisceaux de la crête. Le côté droit, cassé, n'est plus décoré de ces élèments là. Mais encore faudrait-il montrer qu'il y avait symétrie dans la décoration du masque ! A.Renard, restaurateur.
Masque constitué d'une figure en bois polychrome et d'une coiffe en forme de crinière formée de deux coques et recouverte de fibres.
Casque avec tête d'oiseau sur sa partie frontale.

Masque facial de 18 cm de hauteur en deux parties. Une partie (11 cm) sculptée, très ouvragée et ajourée. Chaque élèment du visage est réhaussé de couleurs brutes ou de motifs bicolores ( ex. nez noir avec petit motif quadrillé rouge et ailes du nez bleue, rouge et blanche ; dents marquées par des chevrons noirs et blancs inversés sur les deux lèvres ...) Les yeux sont deux opercules blancs et verts. L'autre partie (7 cm) brute et en retrait par rapport au masque est ponctuée de trous, par lesquels sont passées les ligatures des autres élèments de la coiffure. Le masque facial est fixé à une armature arrière, constituée de trois baguettes souples à l'horizontal et de 16 baguettes à la verticale courbées. Sur et dans cette armature viennent se fixer, par des ligatures végétales et par piqûres, quatre morceaux de bourre de noix de coco -deux écorces externes brutes, fibreuses derrière et deux écorces lissses devant. A la base de cette structure, un ensemble de baguettes végétales souples court d'un bord l'autre en passant derrière le masque en bois peint et sous le menton. Ces baguettes sont enroulées par des bandes de tapa, brute du côté droit et ponctuée de points noirs du côté gauche. Le tout est fixé aux bourres de coco par des ligatures végétales. Le côté gauche est recouvert d'un tapa brut sur les trois quarts de la surface et teinté en rouge au dessus du sourcil gauche. Les deux surfaces sont séparées par une petite baguette végétale. Un ensemble de tresses végétales à trois brins uni- ou bicolores vient par dessus. Une crête végétale (quatre à cinq rangées de petits poils jaunâtres denses, fixée par des ligatures végétales brunes, ocres claires (deux types de fibres végétales sur la même baguette) sur des baguettes de bois courbe) surmonte le tout. Elles sont fixées aux noix de coco par une ficelle torsadée régulièrement (chanvre ou lin sans doute pas d'origine) passée dans la noix de coco et nouée de part et d'autre des faisceaux de la crête. Le côté droit, cassé, n'est plus décoré de ces élèments là. Mais encore faudrait-il montrer qu'il y avait symétrie dans la décoration du masque ! A.Renard, restaurateur. Masque constitué d'une figure en bois polychrome et d'une coiffe en forme de crinière formée de deux coques et recouverte de fibres. Casque avec tête d'oiseau sur sa partie frontale.

Mode d'acquisition :

affectation

Date d'acquisition :

09/07/1990

Propriété(s) :

propriété de la commune Lille

Ancienne(s) appartenance(s) :

Don, PHALEMPIN Charles (Lille 1844 - Londres 1918), 1920

Inscriptions :

étiquette

Précisions sur les inscriptions :

Etiquette verte rectangulaire Phalempin au dos de l'objet.