Détail de notice
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Numéro d'inventaire :
D.27.1.45
Domaine :
Auteur / exécutant :
Lieux de création, d'exécution et d'utilisation :
Utilisation / destination :
Technique et matériaux :
Dimensions :
H. 310 cm ; l. 344 cm ; P. 36 cm
Inscriptions / marques :
signature de l'exécutant ;
date ; au dos, au niveau de la tête de l’angelot gauche, nom du sculpteur et date de la réalisation
date ; au dos, au niveau de la tête de l’angelot gauche, nom du sculpteur et date de la réalisation
Description :
2 grands anges encadrent une niche centrale ornée d’une vierge surmontée d’un entablement portant deux angelots. Quelques parties manquantes ont été restituées, le maître-autel, les supports de colonnes. Les lignes de l’architecture, au décor de faux-marbre dans la niche centrale, sont équilibrées par la sculpture des anges aux formes sinueuses, aux plis souples et élégants, peints en or et argent.
Représentation :
ange; angelot; vierge ; 4 petits placards en soubassement
(manque 2 placards partie centrale)
(manque 2 placards partie centrale)
Lieu de conservation :
Statut juridique :
Intérêt / commentaires :
En 1662 un Edit royal ordonne la création d’un hôpital général de la Charité dans chaque ville. Le conseil des échevins d’Issoudun, deuxième commune du Berry après Bourges, créé ainsi en 1676, l'Hospice du Saint-Enfant-Jésus. Il seconde l’hôtel-Dieu destiné à l’accueil des pauvres qui faisait face à une demande croissante de malades, d’orphelins et de mendiants. En 1682, par lettres patentes du roi Louis XIV l’établissement est officiellement reconnu pour recevoir les « pauvres affligés d'écrouelles, teigne, cancer, épilepsie". D'importants dons et legs garantissent son bon fonctionnement et autorisent la réalisation de cet important retable baroque.
OEuvre(s) en rapport :
D.27.1.28 (1)
Crédits photographiques :
Rédacteur de la notice :
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