Espace ressources de la Maison de la culture de Grenoble
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Johannes Brahms
Variations sur un thème de Haydn, Rhapsodie pour contralto.
Choeurs d'hommes et orchestre.
Giuseppe Verdi
Quatre pièces sacrées.
Choeurs de Lyon-Bernard Tétu,
Orchestre National de Lyon
Avec les variations sur un thème de Haydn et la Rhapsodie pour contralto, choeur d'hommes et orchestre, l'Orchestre National de Lyon marque d'une pierre blanche le centenaire de la mort de Johannes Brahms. Ce compositeur longtemps malaimé, enfin considéré aujourd'hui comme l'un des piliers de la musique allemande, reste l'un des plus singuliers de son siècle : un compositeur épris de classicisme, comme en témoigne son hommage à Joseph Haydn, et pourtant inspiré par les grands poètes de l'âge romantique, ainsi que nous le rappelle la Rhapsodie qu'il composa, un an avant sa mort, sur un émouvant poème de Goethe. En regard, Alain Lombard, qui retrouve à cette occasion l'Orchestre National de Lyon, a choisi de confier aux Choeurs de Lyon-Bernard Tétu les Quatre pièces sacrées de Verdi, autre testament, composé à la même époque, mais par un musicien qui, de vingt ans plus âgé que Brahms, avait atteint le stade de la sérénité la plus absolue. Monument de contrepoint, les Quatre pièces sacrées sont à l'image de leur créateur : heureuses, spirituelles au sens plein du terme, et d'une vitalité qui fait d'elles un véritable aboutissement dans l'oeuvre de Verdi.
Variations sur un thème de Haydn, Rhapsodie pour contralto.
Choeurs d'hommes et orchestre.
Giuseppe Verdi
Quatre pièces sacrées.
Choeurs de Lyon-Bernard Tétu,
Orchestre National de Lyon
Avec les variations sur un thème de Haydn et la Rhapsodie pour contralto, choeur d'hommes et orchestre, l'Orchestre National de Lyon marque d'une pierre blanche le centenaire de la mort de Johannes Brahms. Ce compositeur longtemps malaimé, enfin considéré aujourd'hui comme l'un des piliers de la musique allemande, reste l'un des plus singuliers de son siècle : un compositeur épris de classicisme, comme en témoigne son hommage à Joseph Haydn, et pourtant inspiré par les grands poètes de l'âge romantique, ainsi que nous le rappelle la Rhapsodie qu'il composa, un an avant sa mort, sur un émouvant poème de Goethe. En regard, Alain Lombard, qui retrouve à cette occasion l'Orchestre National de Lyon, a choisi de confier aux Choeurs de Lyon-Bernard Tétu les Quatre pièces sacrées de Verdi, autre testament, composé à la même époque, mais par un musicien qui, de vingt ans plus âgé que Brahms, avait atteint le stade de la sérénité la plus absolue. Monument de contrepoint, les Quatre pièces sacrées sont à l'image de leur créateur : heureuses, spirituelles au sens plein du terme, et d'une vitalité qui fait d'elles un véritable aboutissement dans l'oeuvre de Verdi.
