Espace ressources de la Maison de la culture de Grenoble > Recherche multi-critères
Nature :
Nom(s) manifestation(s) :
Lieu(x) :
Genre(s) :
Artiste(s) :
Description(s) :
Jean Joseph Cassanéa de Mondonville
Trois sonates en symphonie,
Pierre Gabriel Buffardin
Op.3/Concerto pour flûte en mi mineur,
Giovan Battista Pergolesi Stabat Mater.
Fondé en 1725 à Paris par Philidor, le Concert spirituel est la première entreprise de concert digne de ce nom, permanente et véritablement structurée. Présentant une moyenne de trente-cinq concerts par an en profitant des jours où l'Académie Royale de Musique suspendait ses prestations pour cause de Carême ou de fêtes religieuses, le Concert spirituel, se consacrait exclusivement à la musique sacrée, ou musique de
chapelle, selon les termes de l'époque. Les concerts avaient lieu dans une salle du palais des Tuileries ; en 1775, l'orchestre du Concert spirituel se composait de 58 instrumentistes et 55 chanteurs. Nombreux furent les musiciens français et étrangers qui s'y firent entendre (Mozart, lors de son second séjour à Paris, y fit jouer quelques-unes de ses oeuvres). Malgré de
gros problèmes financiers, le Concert spirituel poursuivit ses activités jusqu'à la Révolution.
Annie Garde
Trois sonates en symphonie,
Pierre Gabriel Buffardin
Op.3/Concerto pour flûte en mi mineur,
Giovan Battista Pergolesi Stabat Mater.
Fondé en 1725 à Paris par Philidor, le Concert spirituel est la première entreprise de concert digne de ce nom, permanente et véritablement structurée. Présentant une moyenne de trente-cinq concerts par an en profitant des jours où l'Académie Royale de Musique suspendait ses prestations pour cause de Carême ou de fêtes religieuses, le Concert spirituel, se consacrait exclusivement à la musique sacrée, ou musique de
chapelle, selon les termes de l'époque. Les concerts avaient lieu dans une salle du palais des Tuileries ; en 1775, l'orchestre du Concert spirituel se composait de 58 instrumentistes et 55 chanteurs. Nombreux furent les musiciens français et étrangers qui s'y firent entendre (Mozart, lors de son second séjour à Paris, y fit jouer quelques-unes de ses oeuvres). Malgré de
gros problèmes financiers, le Concert spirituel poursuivit ses activités jusqu'à la Révolution.
Annie Garde