Espace ressources de la Maison de la culture de Grenoble
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Espace ressources de la Maison de la culture de Grenoble > Recherche multi-critères
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Delta et Hypothetical Streams (créations 96)
Mobile ou le miroir du château (création 95)
Quand Daniel Larrieu s'intéresse à un paysage, il peut tout aussi bien faire le jardinier que l'architecte. Poète et figure emblématique de la danse contemporaine française des années 80, il en accompagne l'émergence au fil de multiples expériences artistiques dont l'une des caractéristiques est de ne jamais s'arrêter sur les conventions.
Les inventions du chorégraphe, actuellement directeur du Centre Chorégraphique National de Tours, ont traversé les mondes physique, animal, aquatique, végétal, minéral... et exploré bien d'autres matériaux, visuels, sonores, textuels. Mais quelque soit le cheminement de la pensée, le parcours choisi, chez Daniel Larrieu on en revient toujours à la mesure, aux
proportions, à l'équilibre, à l'harmonie. Avec parfois un brin d'humour et de provocation, ses entreprises délicates ne cessent de réinterroger l'oeuvre d'art.
Tournées vers la lumière, les danses de Daniel Larrieu tiennent beaucoup à la qualité singulière de chacun des interprètes. La gestuelle est empreinte de douceur et l'écriture fluide incline à l'abstraction. Mobile ou le miroir du château, sa précédente création, prend source à Langeais, dans la vallée de la Loire. A partir de châteaux des débuts de la Renaissance, en collaboration avec le musicien Thom Willems, Daniel Larrieu mûrit des constructions imaginaires, un travail sur l'espace, les corps et la musicalité du
mouvement. La seconde pièce, Hypothetical Streams n'est pas une création de Daniel Larrieu mais l'oeuvre de William Forsythe issue d'une collaboration peu ordinaire, celle d'une composition réalisée par correspondance entre le chorégraphe et les danseurs du Centre Chorégraphique. Tout comme les nouvelles communications, les projets autour de la danse ne cessent de trouver de nouveaux procédés.
Mobile ou le miroir du château (création 95)
Quand Daniel Larrieu s'intéresse à un paysage, il peut tout aussi bien faire le jardinier que l'architecte. Poète et figure emblématique de la danse contemporaine française des années 80, il en accompagne l'émergence au fil de multiples expériences artistiques dont l'une des caractéristiques est de ne jamais s'arrêter sur les conventions.
Les inventions du chorégraphe, actuellement directeur du Centre Chorégraphique National de Tours, ont traversé les mondes physique, animal, aquatique, végétal, minéral... et exploré bien d'autres matériaux, visuels, sonores, textuels. Mais quelque soit le cheminement de la pensée, le parcours choisi, chez Daniel Larrieu on en revient toujours à la mesure, aux
proportions, à l'équilibre, à l'harmonie. Avec parfois un brin d'humour et de provocation, ses entreprises délicates ne cessent de réinterroger l'oeuvre d'art.
Tournées vers la lumière, les danses de Daniel Larrieu tiennent beaucoup à la qualité singulière de chacun des interprètes. La gestuelle est empreinte de douceur et l'écriture fluide incline à l'abstraction. Mobile ou le miroir du château, sa précédente création, prend source à Langeais, dans la vallée de la Loire. A partir de châteaux des débuts de la Renaissance, en collaboration avec le musicien Thom Willems, Daniel Larrieu mûrit des constructions imaginaires, un travail sur l'espace, les corps et la musicalité du
mouvement. La seconde pièce, Hypothetical Streams n'est pas une création de Daniel Larrieu mais l'oeuvre de William Forsythe issue d'une collaboration peu ordinaire, celle d'une composition réalisée par correspondance entre le chorégraphe et les danseurs du Centre Chorégraphique. Tout comme les nouvelles communications, les projets autour de la danse ne cessent de trouver de nouveaux procédés.
