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L'originalité du langage chorégraphique de Mats Ek est décapante. En mêlant l'humour et le tragique, le chorégraphe suédois a opté pour l'intensité héâtrale. En intégrant au vocabulaire classique les apports de la danse moderne, il a élargi le champ des possibles. De fait sa notoriété internationale n'est plus à démontrer, qui le reconnaît comme l'une des personnalités majeures de notre époque. Ses pièces ont parfois des accents ravageurs, elles portent la sensibilité à l'extrême. Elles ont un charme ensorcelant.
Fils d'un acteur fétiche de Bergman, Mats Ek dirige le Ballet Cullberg fondé par sa mère et crée pour la compagnie de nombreux ballets dont Giselle en 1982. La nouvelle conception de pensée qui anime le Ballet Cullberg conduit la troupe à développer des pièces dont les sujets essentiels se fondent sur une critique politique et sociale et retrouvent les difficultés universelles
de l'humanité.
A la création, sa Giselle, qui a depuis parcouru le monde, est demeurée dans les souvenirs comme un grand choc. Avec l'intelligence et la puissance d'une
écriture exceptionnelle, le chorégraphe a fait une relecture exemplaire du genre. Avec un net penchant pour les versions iconoclastes, il conduit le drame de la jeune paysanne sombrant dans la folie à une extraordinaire densité. A la fois néo-classique, expressionniste, ce ballet blanc, aux figures sombres, met en scène une Giselle déjantée, aux prises avec la démence, dans l'univers des asiles psychiatriques.
Fils d'un acteur fétiche de Bergman, Mats Ek dirige le Ballet Cullberg fondé par sa mère et crée pour la compagnie de nombreux ballets dont Giselle en 1982. La nouvelle conception de pensée qui anime le Ballet Cullberg conduit la troupe à développer des pièces dont les sujets essentiels se fondent sur une critique politique et sociale et retrouvent les difficultés universelles
de l'humanité.
A la création, sa Giselle, qui a depuis parcouru le monde, est demeurée dans les souvenirs comme un grand choc. Avec l'intelligence et la puissance d'une
écriture exceptionnelle, le chorégraphe a fait une relecture exemplaire du genre. Avec un net penchant pour les versions iconoclastes, il conduit le drame de la jeune paysanne sombrant dans la folie à une extraordinaire densité. A la fois néo-classique, expressionniste, ce ballet blanc, aux figures sombres, met en scène une Giselle déjantée, aux prises avec la démence, dans l'univers des asiles psychiatriques.