Espace ressources de la Maison de la culture de Grenoble
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L'événement. Trois chefs-d'oeuvre absolus de Maurice Béjart dans leur version originale. Interprétés par le Tokyo Ballet, superbe compagnie classique de soixante-six danseurs, le seul ballet au monde à qui
Maurice Béjart ait confié ses chorégraphies les plus fameuses.
Qui donc mieux que Maurice Béjart aurait pu rendre hommage au compositeur Igor Stravinski ? On se souvient que le célèbre chorégraphe a pu créer ses fameux Ballets du XXème siècle et débuter la fulgurante carrière internationale que l'on sait grâce au triomphe du Sacre du printemps, un ballet pour lequel il inventait un nouveau langage chorégraphique. Estce un effet de l'intelligence ou bien l'ironie du sort ?
En 1913, lors de la première, la partition fit scandale. Comme toute oeuvre révolutionnaire, elle s'éloignait des critères du beau de son époque et redécouvrait dans le folklore la vigueur d'un art primitif. Quant au
chorégraphe, il a fait du Sacre un hymne à l'union, celle de l'homme et de la femme, de la terre et du ciel. En célébrant les forces du printemps, son éternel
renouveau dans une danse d e vie et de mort, il évoquait l'éveil de l'humanité à la vie consciente et à l'amour.
Avec L'oiseau de feu qui rendit célèbre Stravinski dès 1910, le chorégraphe crée en 1971 un magnifique ballet marqué par une recherche qu'il mène alors sur les voies de la spiritualité.
Maurice Béjart ait confié ses chorégraphies les plus fameuses.
Qui donc mieux que Maurice Béjart aurait pu rendre hommage au compositeur Igor Stravinski ? On se souvient que le célèbre chorégraphe a pu créer ses fameux Ballets du XXème siècle et débuter la fulgurante carrière internationale que l'on sait grâce au triomphe du Sacre du printemps, un ballet pour lequel il inventait un nouveau langage chorégraphique. Estce un effet de l'intelligence ou bien l'ironie du sort ?
En 1913, lors de la première, la partition fit scandale. Comme toute oeuvre révolutionnaire, elle s'éloignait des critères du beau de son époque et redécouvrait dans le folklore la vigueur d'un art primitif. Quant au
chorégraphe, il a fait du Sacre un hymne à l'union, celle de l'homme et de la femme, de la terre et du ciel. En célébrant les forces du printemps, son éternel
renouveau dans une danse d e vie et de mort, il évoquait l'éveil de l'humanité à la vie consciente et à l'amour.
Avec L'oiseau de feu qui rendit célèbre Stravinski dès 1910, le chorégraphe crée en 1971 un magnifique ballet marqué par une recherche qu'il mène alors sur les voies de la spiritualité.
