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Présentation. : Après Puccini,qui marqua la saison précédente avec l'admirable Madame Butterfly rendue à sa japonité tragique, voici la nouvelle production de l'Opéra de Lyon. Cette fois-ci, c'est du côté de l'Italie que l'on s'embarque, avec cet Elixir d'amour qui est sans doute ce que le si prolixe Donizetti (pas moins de soixante-dix opéras à son actif) a réussi de mieux. Loin de ses drames sérieux, d'une convention plutôt ennuyeuse, il excelle dans la légèreté, la facétie, le sourire saupoudré de sentiment.
Et la direction de Bruno Campenella, la mise en scène de Franck Dunlop, l'interprétation de Barbara Hendricks, Roberto Platé et Gabriel Bacquier mettent en avant ce dont on se doutait bien: les vendeurs de drogue, qui promettent de
gagner l'amour des belles n'ont rien perdu de leur charlatanisme; et à l'heure des images, du cinéma, de l'affiche et de la télévision, ils chantent plus que jamais le grand air du philtre magique.
Et la direction de Bruno Campenella, la mise en scène de Franck Dunlop, l'interprétation de Barbara Hendricks, Roberto Platé et Gabriel Bacquier mettent en avant ce dont on se doutait bien: les vendeurs de drogue, qui promettent de
gagner l'amour des belles n'ont rien perdu de leur charlatanisme; et à l'heure des images, du cinéma, de l'affiche et de la télévision, ils chantent plus que jamais le grand air du philtre magique.