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Présentation. : Qui dit "farce" dit "rire". Dit "larme" aussi. Laissant à d'autres trivialités grâce et coups de bâtons, Jacques Lassalle conjugue les deux extrêmes avec une noire allégresse, sur le mode vertigineux d'une mise en abîme du délire dans
l'effarement le plus total. Flanqué d'une toute jeune scénographe à la maturité stupéfiante (Chantai Gaiddon, Prix de la Critique 1991, pour ce décor) et d'une distribution au-dessus de tout soupçon (à commencer par Olivier Perrier et Daniel Znyk), il a signé là, en même temps que sa dernière création au Théâtre national de Strasbourg, l'un de ses spectacles les plus acccomplis, les plus purs. Dans la retenue délicate du jeu et des rythmes, pointe, par-delà les artifices gaillards des malentendus et quiproquos, un Molière "farceur" à l'évidence inattendue. Celle d'un regard cru et tragique sur la société et les hommes. Celle de la folie aux portes de l'enfer.
l'effarement le plus total. Flanqué d'une toute jeune scénographe à la maturité stupéfiante (Chantai Gaiddon, Prix de la Critique 1991, pour ce décor) et d'une distribution au-dessus de tout soupçon (à commencer par Olivier Perrier et Daniel Znyk), il a signé là, en même temps que sa dernière création au Théâtre national de Strasbourg, l'un de ses spectacles les plus acccomplis, les plus purs. Dans la retenue délicate du jeu et des rythmes, pointe, par-delà les artifices gaillards des malentendus et quiproquos, un Molière "farceur" à l'évidence inattendue. Celle d'un regard cru et tragique sur la société et les hommes. Celle de la folie aux portes de l'enfer.