Œuvre : Précisions - Le port | Espace WebMuséo Musenor |
Statut de l'oeuvre :
N° d'inventaire :
P.57.129
Domaine :
Titre :
Le port
Genèse de l'oeuvre :
étude
Précisions concernant la genèse :
pour un tableau présenté au Salon des Indépendants de 1914, disparu en Allemagne
Lieux création, exécution :
Date de création ou d'exécution :
1913
Précision sur la création ou l'exécution :
1913 (Vers)
20e siècle (1er quart)
20e siècle (1er quart)
Techniques et matériaux :
Huile sur toile
Dimensions :
Hauteur en cm : 80,8
Largeur en cm : 64,8
Hauteur avec cadre en cm : 99.0
Largeur avec cadre en cm : 83.5
Largeur en cm : 64,8
Hauteur avec cadre en cm : 99.0
Largeur avec cadre en cm : 83.5
Date d'acquisition :
Novembre, 1957
Ancienne(s) appartenance(s) :
Collection privée, Séné, Paris
Inscriptions :
signature
annotation
annotation
Précisions sur les inscriptions :
Français, Sur le tableau, En haut, à droite, A.F.Mac Del Marle
Sur le tableau, NIAGARA / NEW YORK
Sur le tableau, NIAGARA / NEW YORK
Exposition(s) :
Bibliographie :
1998, Valenciennes, guide des collections
n°93, p.156
extrait de l'ouvrage :
Après une formation classique et l'école des beaux-arts de Valenciennes, Del Marle rompt avec sa famille et s'installe à Bruxelles puis à Paris, en 1911. Dès 1913, il se lie avec les milieux futuristes et rencontre Marinetti, Boccioni, Severini et Apollinaire, qui considérait Del Marle comme le seul véritable " futuriste français ". Revendiquant cette nouvelle esthétique, Del Marle exécute des oeuvres qui exaltent le monde moderne : le travail, la vie sociale, au moyen d'un langage simplifié, synthétique et dynamique.
Le Port est considéré comme la meilleure oeuvre futuriste du peintre. Cette vaste composition (environ 3 x 1,90 m) fut présentée au Salon des Indépendants en 1914, elle disparut à Cologne au moment de la déclaration de la Première Guerre mondiale. Cinq études préparatoires sont connues, dont celle de Valenciennes, qui est sans doute la dernière et la plus aboutie. Autour des deux masses sombres clairement identifiables des proues des navires, le peintre cherche à donner à sa composition une dimension dynamique, poétique et sonore au moyen de références plastiques qui ont ici valeur de signes.
Patrick Ramade
2006, Turin, La città nell'immaginario...
n°55, p. 286, repr. p. 77
2013, Valenciennes, Guide des collections
p. 215, repr.
n°93, p.156
extrait de l'ouvrage :
Après une formation classique et l'école des beaux-arts de Valenciennes, Del Marle rompt avec sa famille et s'installe à Bruxelles puis à Paris, en 1911. Dès 1913, il se lie avec les milieux futuristes et rencontre Marinetti, Boccioni, Severini et Apollinaire, qui considérait Del Marle comme le seul véritable " futuriste français ". Revendiquant cette nouvelle esthétique, Del Marle exécute des oeuvres qui exaltent le monde moderne : le travail, la vie sociale, au moyen d'un langage simplifié, synthétique et dynamique.
Le Port est considéré comme la meilleure oeuvre futuriste du peintre. Cette vaste composition (environ 3 x 1,90 m) fut présentée au Salon des Indépendants en 1914, elle disparut à Cologne au moment de la déclaration de la Première Guerre mondiale. Cinq études préparatoires sont connues, dont celle de Valenciennes, qui est sans doute la dernière et la plus aboutie. Autour des deux masses sombres clairement identifiables des proues des navires, le peintre cherche à donner à sa composition une dimension dynamique, poétique et sonore au moyen de références plastiques qui ont ici valeur de signes.
Patrick Ramade
2006, Turin, La città nell'immaginario...
n°55, p. 286, repr. p. 77
2013, Valenciennes, Guide des collections
p. 215, repr.
Date de dernière modification :
28 novembre 2023 18:02 Europe centrale/Paris (ECT) +01:00