Le réseau des musées

MRAB_1998.0.165.1

H. 25 cm, l. 25 cm, L. 50 cm (parallélépipédique)

Machine pour recouvrir de fils de coton les tiges des fleurs et des feuilles, et les armatures métalliques des couronnes. Sous un carter métallique peint en vert clair, le bloc moteur. Le moteur donne un mouvement de rotation à un axe métallique. Cet axe est muni, à son extrémité, d'un embout circulaire amovible équipé de deux crochets métalliques en forme de tire-bouchon. L'axe et l'embout sont creux, pour permettre le passage des barres métalliques formant l'armature des couronnes et les fils de fer composant les tiges des fleurs et des feuilles. Sur le bloc carter est fixé le support de la vis de réglage de la tension du fil. Le support se présente comme une plaque métallique sur laquelle on a soudé deux boulons constituant le pas de vis. Commande de la machine au pied (manquant). Fonctionnement de la machine : On enfile sur l'axe une bobine de fil. On bloque la bobine en fixant l'embout circulaire sur l'extrémité de l'axe. On passe l'extrémité du fil dans un des crochets en forme de tire-bouchon. On enfile dans le creux de l'axe les tiges des fleurs ou les barres composant l'armature. On enroule manuellement l'extrémité du fil de coton autour de l'objet à recouvrir, deux ou trois tours, et tout en maintenant le fil on actionne le moteur avec le pied. On lâche alors le fil. L'axe, par un mouvement de rotation, enroule le fil autour de la tige ou de la barre. La bobine est maintenue en place par un système de ressort et de lamelle métallique, manquant. En actionnant la vis de réglage de tension du fil, on pousse plus ou moins la lamelle métallique qui pousse à son tour le ressort, qui maintient la bobine. En tendant plus ou moins le ressort, la bobine, maintenue plus ou moins serrée, se déroulera plus ou moins vite.

inscription

MOTINOT/RENE/GIVORS

1946 entre ; 1967 et

Revêtement des fils de fer nus constituant les tiges des fleurs et feuilles

1946 entre ; 1967 et