Oeuvre : Précisions - Couvent des Unterlinden | Musée Unterlinden |
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Domaine :
Auteur :
Précisions concernant l'auteur :
Thann, 1794 ; Colmar, 1862
Ecole de l'auteur ou de l'oeuvre :
Titre :
Millésime de l'oeuvre :
1838
Technique et matériaux :
Représentation - Iconographie :
vue d'architecture (Colmar, couvent des Unterlinden, cloître) ; dominicaine ; nuit
Dimensions :
H. 62,5 cm ; l. 76 cm (a.c.) ; H. 46,5 cm ; l. 61 cm (s.c.)
Inscriptions - Marques :
signé ; daté ; ; inscription concernant la représentation
Précisions inscriptions :
H. Lebert 1838 (b.d.) ; Couvent des Unterlinden à Colmar (Haut-Rhin). Henri Lebert 1838 (au revers de l'oeuvre)
Numéro d'inventaire :
88.RP.333
Date d'acquisition :
1972 avant
Statut juridique :
Expositions de l'oeuvre :
Les dominicaines d'Unterlinden, Colmar, musée d'Unterlinden, décembre 2000 - juin 2001.
Histoire du musée d'Unterlinden et de ses collections de la Révolution à la Première Guerre mondiale, Colmar, musée d'Unterlinden, 3 avril - 3 novembre 2003.
Kunst grenzenlos - Malerei aus der Regio am Oberrhein, Fribourg-en-Brisgau, 2 décembre 2006 - 25 février 2007.
Histoire du musée d'Unterlinden et de ses collections de la Révolution à la Première Guerre mondiale, Colmar, musée d'Unterlinden, 3 avril - 3 novembre 2003.
Kunst grenzenlos - Malerei aus der Regio am Oberrhein, Fribourg-en-Brisgau, 2 décembre 2006 - 25 février 2007.
Bibliographies :
Auteur de l'image :
Commentaire :
Henri Lebert est installé à Colmar depuis huit ans lorsqu’il peint cette toile.
Plutôt que de représenter le couvent dans son état délabré d’alors, l’artiste prend le parti d’évoquer la vie passée du lieu. Il ressuscite un groupe de sœurs qui semblent profiter d’un moment de récréation pour se promener dans le jardin du Cloître, aux pelouses bien entretenues et agrémentées aux bosquets de roses blanches en fleur.
Le peintre a choisi de représenter les ailes est, sud et ouest, ainsi que le flanc nord de la chapelle. Sur le toit de cette dernière, Lebert a reconstitué le clocheton, démoli sous la Révolution.
La présence de religieuses à l’aspect fragile et délicat dans ce cadre architectural imposant évoque ce monde clos qui les protège du monde extérieur et de ses turpitudes. Du reste, cet écrin de pierre n’a pas pu les protéger, ce que semble annoncer le ciel chargé et sombre.
Plutôt que de représenter le couvent dans son état délabré d’alors, l’artiste prend le parti d’évoquer la vie passée du lieu. Il ressuscite un groupe de sœurs qui semblent profiter d’un moment de récréation pour se promener dans le jardin du Cloître, aux pelouses bien entretenues et agrémentées aux bosquets de roses blanches en fleur.
Le peintre a choisi de représenter les ailes est, sud et ouest, ainsi que le flanc nord de la chapelle. Sur le toit de cette dernière, Lebert a reconstitué le clocheton, démoli sous la Révolution.
La présence de religieuses à l’aspect fragile et délicat dans ce cadre architectural imposant évoque ce monde clos qui les protège du monde extérieur et de ses turpitudes. Du reste, cet écrin de pierre n’a pas pu les protéger, ce que semble annoncer le ciel chargé et sombre.