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Oeuvre : Précisions - Ruines du Haut-Kœnigsbourg | Musée Unterlinden |
Domaine :
Précisions concernant l'auteur :
Colmar, 1783 ; Paris, 1859
Ecole de l'auteur ou de l'oeuvre :
Titre :
Millésime de l'oeuvre :
1825 achevé en
Technique et matériaux :
Représentation - Iconographie :
paysage (château : Haut-Kœnigsbourg, ruines, rochers, feuillus)
Dimensions :
H. 61 cm ; l. 79 cm (feuille) ; L. 93 cm ; H. 75 cm (passe-partout)
Inscriptions - Marques :
signé, daté
Précisions inscriptions :
Boug d'Orschwiller 1825 (b.m.)
Numéro d'inventaire :
2009.12.1
Date d'acquisition :
2009 acquis
Statut juridique :
Expositions de l'oeuvre :
L'Alsace pittoresque. L'invention d'un paysage 1770-1870, Colmar, musée Unterlinden, 25 mars-26 juin 2011, cat. n° 88.
Rêve de monuments. Architectures imaginées du Moyen Age à nos jours, Paris, Conciergerie, 22 novembre 2012 - 24 février 2013.
Feuille(s) choisie(s). Dessins - Estampes - Photographies, Colmar, musée Unterlinden, 11 juillet 2014 - 16 février 2015.
Rêve de monuments. Architectures imaginées du Moyen Age à nos jours, Paris, Conciergerie, 22 novembre 2012 - 24 février 2013.
Feuille(s) choisie(s). Dessins - Estampes - Photographies, Colmar, musée Unterlinden, 11 juillet 2014 - 16 février 2015.
Bibliographies :
Auteur de l'image :
Commentaire :
Lorsque que Henri de Boug d’Orschwiller dessine le Haut-Koenigsbourg, celui-ci appartient à sa famille et n’a pas encore été reconstruit. Les ruines majestueuses du château sont envahies par la végétation : le lierre s’étend sur les murailles et des arbres ont pris racines dans la cour et jusqu’au sommet du logis et des tours.
Pendant longtemps, les ruines effrayent les gens et peu osent s’y aventurer. À partir du 19e siècle, le goût des romantiques pour la nature sauvage font des châteaux en ruines des lieux de promenade privilégiés.
En 1889, la ville de Sélestat devenue propriétaire du château en fait don à l’empereur Guillaume II. Passionné par le Moyen Âge, le souverain lance sa restauration pour en faire un musée à la gloire de la chevalerie germanique du Moyen Âge et de la Renaissance.
Pendant longtemps, les ruines effrayent les gens et peu osent s’y aventurer. À partir du 19e siècle, le goût des romantiques pour la nature sauvage font des châteaux en ruines des lieux de promenade privilégiés.
En 1889, la ville de Sélestat devenue propriétaire du château en fait don à l’empereur Guillaume II. Passionné par le Moyen Âge, le souverain lance sa restauration pour en faire un musée à la gloire de la chevalerie germanique du Moyen Âge et de la Renaissance.
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