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Orléans (45)

Hôtel Cabu, Musée d'histoire et d'archéologie

Bandeau d'illustration de l'espace WM : Hôtel Cabu, Musée d'histoire et d'archéologie
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Nouvelles perspectives du plan d’Orléans

Émile OLLIVIER d’après Charles PENSÉE, Plan pittoresque de la ville d’Orléans, 1836, n° INV 2001.4.1, Hôtel Cabu – Musée d’histoire et d’archéologie, Orléans
Émile OLLIVIER d’après Charles PENSÉE, Plan pittoresque de la ville d’Orléans, 1836, n° INV 2001.4.1, Hôtel Cabu – Musée d’histoire et d’archéologie, Orléans
Charles PENSÉE, Perspective générale de la ville d’Orléans, 1845 et 1846, n° INV A.4053, Hôtel Cabu – Musée d’histoire et d’archéologie, Orléans
Charles PENSÉE, Perspective générale de la ville d’Orléans, 1845 et 1846, n° INV A.4053, Hôtel Cabu – Musée d’histoire et d’archéologie, Orléans

 

En 1836, après de minutieux relevés topographiques, de nombreux dessins préparatoires et plusieurs mois passés à travailler, Charles Pensée achève une vue aérienne d’Orléans, sous le titre de Plan pittoresque de la Ville d’Orléans, qu’il réactualise en 1843 et 1853.  Sa présentation s’inscrit dans une tradition de plans de ville en perspective cavalière.

Parallèlement, il entreprend une plus ambitieuse lithographie intitulée Perspective générale de la ville d’Orléans et de ses environs prise de l’Ouest et publiée en 1845-1846 qui ne mesure pas moins de 80 sur 100 cm.

Cette seconde vue aérienne présente la ville sous un nouvel angle et s’étend jusqu’à des communes éloignées telles que Châteauneuf-sur-Loire dont on aperçoit le clocher.

Elle montre une ville libérée partiellement de ses anciennes fortifications. La gare est figurée ainsi que le premier pont de chemin de fer, dans son état primitif, c’est-à-dire avec douze arches seulement.