Bernard Joseph photographie les jardins d’un mineur de fond, son père. Il révèle ce qui tend, là, à la plénitude, l’harmonie, la fertilité. Les petits bouts de terre deviennent un véritable cosmos, espace intime en butte au passage du temps.
Gisèle Bienne écrit à partir d’une visite des jardins photographiques de Bernard Joseph, convoque ses propres espaces.
Une écriture entre souvenirs et poésie.
Bernard Joseph photographs the gardens of a miner, his father. There he reveals all that tends towards plenitude, harmony and fertility. Small plots of land become a veritable cosmos, a private space exposed to the passing of time.
Gisèle Bienne writes based on a visit to Bernard Joseph’s photographic gardens, summoning her own spaces.
A writing between recollection and poetry.
