993.027.002

H. 33.8 cm, l. 44 cm

Recto : au centre sous l’image : composé et lith par F.Grenier au centre en dessous :derniers moments de S.A.R. le duc d’Orléans, au centre en dessous : le 13 juillet 1842 au centre en dessous : d’après des renseignements authentiques communiqués filigrane de H. Jeannin près de la fin du titre filigrane F.G à gauche du titre signé F.Grenier coin inférieur droit de l’image sur la cuvette à droite avec un trait arrivant jusqu’à un personnage “M. Soult” Au verso marqué 993.27.2 coin inférieur droit coin inférieur gauche, à l’envers :17.8.92 qua(?) (?)

L’intérieur d’une maison assez simple, la cuisine. On distingue des étagères avec des ustensiles de cuisine, un poèle, un fusil accroché au mur de droite, etc. Nous sommes dans la cuisine où Ferdinand-Philippe a été transporté juste après sa chute à Neuilly. Le médecin pose ou enlève un pansement de sa tête. Il est au centre de la composition, couché sur un lit improvisé mais très blanc. Il a les yeux fermé. Autour de lui deux femmes pleurent, l’une agenouillée à sa droite et penché sur le poele, l’autre agenouillé face à lui et le visage dans les mains. Probablement sa soeur Marie et sa mère. Louis-Philippe se tient debout à côté de celle-ci, dans la droite de la composition, le bras gauche sur la poitrine, le droit relevé sur sa bouche pour y poser un mouchorr. Derrière lui, près de la porte se trouvent trois hommes, le chapeau à la main dont deux sont recconnaissables, l’un à identifier, l’autre serait le maréchal Soult. A gauche quatre hommes dont l’un s’appuie sur l’épaule d’un autre pour pleurer, alors que cet autre porte sa main à son visage : les ffrères de Ferdinand-Philippe? Une femme à côté d’eux, debout, regarde le ciel en un geste de prère.

13 juillet 1842

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