Détail de notice
Numéro d'inventaire :
83.2
Domaine :
Désignation :
Auteur / exécutant :
Ecole :
Technique et matériaux :
Dimensions :
l. 41,7 cm ; H. 55,4 cm (Sans cadre) ; l. 43,4 cm ; H. 56,9 cm ; P. 1,7 cm (Avec cadre)
Inscriptions / marques :
S.D.b.g. : Luce 1915-16.
Représentation :
Durant la première guerre mondiale, Maximilien Luce, partagé entre son patriotisme et son antimilitarisme consacre une série de tableaux à la gare de l’Est. Ce lieu de passage entre le monde civil, relativement épargné par le conflit, et les champs de batailles particulièrement meurtriers de Verdun concentre sans doute toutes le émotions et souffrances humaines qu’il partage.
Sous la colonnade de la gare, semblable à un alignement vertical de fûts de canons, toutes les forces militaires des nations engagées dans le conflit semblent se côtoyer dans un mélange bigarré d’uniformes, portés par des hommes anonymes. Dans ce bleu horizon qui domine la composition, certains, permissionnaires reviennent du front tandis que d’autres comme ce tirailleur sénégalais, à droite de la composition, s’apprête à reprendre le combat. Au premier plan, seul un homme à genou, peut-être un infirme de guerre, montre un geste affectueux à l’égard d’un chien qu’il caresse.
Sous la colonnade de la gare, semblable à un alignement vertical de fûts de canons, toutes les forces militaires des nations engagées dans le conflit semblent se côtoyer dans un mélange bigarré d’uniformes, portés par des hommes anonymes. Dans ce bleu horizon qui domine la composition, certains, permissionnaires reviennent du front tandis que d’autres comme ce tirailleur sénégalais, à droite de la composition, s’apprête à reprendre le combat. Au premier plan, seul un homme à genou, peut-être un infirme de guerre, montre un geste affectueux à l’égard d’un chien qu’il caresse.
Lieu de conservation :
Crédits photographiques :
Rédacteur de la notice :
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