Le réseau des musées

PHAL_1952.5.1.1

H. 25 cm, L. 29,7 cm, l. 29 cm

Pavillon surmonté d'une impériale carrée ; tous les deux sont en bois de noyer recouverts de drap mi-fin peints en blanc ; à chaque angle de l'impériale se trouve un "sabot" en cuivre ; celui de droite devrait porter un crochet et celui à l'arrière porte un anneau de cordon ; le pavillon et l'impériale sont ornés de soutaches en laine écarlate ; le pavillon porte sur sa gauche une cocarde tricolore métallique ; la bombe est en cuir ; un galon de laine cul-de-dé écarlate masque la couture joignant la bombe au pavillon ; la visière en cuir est bordée d'un jonc de cuivre ; le chapska comporte sur l'avant une plaque en cuivre de forme demi-elliptique portant en relief le numéro du régiment sur fond rayonnant ; une tête de lion sur le côté gauche permet l'attache d'une chaînette-gourmette ; exceptionnellement portée sous le menton cette dernière peut être fixée à la tête de lion du côté droit ; pastille d'aération de chaque côté du pavillon ; plumet fait de plumes de coq écarlates

numéro

2 (plaque)

armée française ; cavalerie ; Lanciers de la Garde Impériale sous le Second Empire (1852-1870). Le plumet écarlate indique un officier d'escadron. La couleur blanche du czapska indique un trompette ou un musicien. ; le régiment des lanciers de la Garde Impériale est formé par décret le 1er juillet 1856 et constitue avec les dragons de l'Impératrice la brigade de cavalerie de ligne au sein de la cavalerie de la Garde. Le régiment des lanciers de la Garde est dissous par décret le 28 octobre 1870.